Connexion. Une femme. Et un téléphone. Et la voix adorée à l’autre bout du fil. Connexion.
Pas de grand drame? Juste un petit, comme chacun en connaît?
C’est peut-être un moment d’intimité, de fragilité, d’espérance.
C’est assurément une recherche. La recherche d’une connexion entre êtres humains. Grâce à la technologie… malgré la technologie.
Durant les 40 minutes que dure cette tragédie, Jean Cocteau nous invite dans le monde d’une femme livrée à l’amour, à la solitude et à la dépendance. Portées par la musique toute en nuances de Francis Poulenc, une chanteuse et une pianiste entament un dialogue musical et émotionnel remettant en question notre rapport à l’autre.